Vivre la 6eme

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Imparfait ou passé simple

source : http://www.french.ch/Lecon_16_imparfait_et_passe_simple.htm

L'imparfait exprime :

Le passé simple ou le (passé composé) expriment :

1- L'habitude :

L'enfant tombait tout le temps.

1- L'action unique :

L'enfant tomba (est tombé) une seule fois.

2- Une durée non achevée :

A l'arrivée du facteur, mon père travaillait déjà depuis trois heures.

2- Une durée achevée :

Ce jour-là, mon père travailla (a travaillé) trois heures.

3- Une répétition avec idée de durée :

Il se peignait tous les matins.

3- Une répétition sans idée de durée :

Hier matin, il se peigna (s'est peigné) trois fois.

4- Une description :

Le ciel était couvert, il pleuvait par moments et, de temps en temps, on voyait un éclair.

4- Une narration :

Le ciel se couvrit (s'est couvert) tout à coup; il se mit (s'est mis) à pleuvoir et l'on vit (a vu) un éclair.

 

 

 

Ils

Arriver

 

 

 

 

Je

Annoncer

 

 

 

 

Elles

Balayer

 

 

 

 

Il

Aller

 

 

 

 

Ils

Fuir

 

 

 

 

Elles

Paraître

 

 

 

 

Nous

Choisir

 

 

 

 

Vous

Ouvrir

 

 

 

 

Tu

Suivre

 

 

 

 

Nous

Ecrire

 

 

 

 

Vous

Boire

 

 

 

 

Il

Faire

 

 

 

 

Je

Venir

 

 

 

 

tu

Mettre

 

 

 

 

 

infinitif

groupe

imparfait

Passé simple

Passé composé

 

Tout à coup se (produire ) ……………………………un grand mouvement de foule .

Chaque soir (éclater) ………………………un orage qui (durer) …………………………

une heure . Vers minuit , comme il (sortir) ……………………………de la maison un coup de vent (souffler)…………………………… sa lanterne qui(s’éteindre)……………

 A chaque gare l’ omnibus                                                                                                                              (s’arrêter)……………………………,(manœuvrer)……………………… ,(attendre)…………………………………..on ne sait quoi , puis ( repartir)……………………………

Quand j’(arriver) ……………………………,la nuit (tomber)……………………………

Le vent (balayer) ……………………………les allées du parc et  j’(avancer) ………………………

Péniblement . je m’(arrêter) …………………………… quand je (voir)……………………………

La vipère qui se (couler)……………………………entre les herbes sèches . Le train (démarrer ) lentement ; une dernière fois je (saluer) ……………………………de la main mes amis . Sur la route qui me (paraître)…………………………… interminable , je pédalais comme un forcené pour arriver le premier à l’étape . Lorsque la voiture (s’arrêter) …………………………… je (sommeiller) ……………………………

Extrait du 2e voyage de Sindbad

retrouve les temps des verbes ...

J'avais résolu, après mon premier voyage, de passer tranquillement le reste de mes jours à Bagdad comme j'eus l'honneur de vous le dire hier. Mais je ne f …. pas longtemps sans m'ennuyer d'une vie oisive ; l'envie de voyager et de …. négocier par mer me repr : …. j'achet….  des marchandises propres à faire le trafic que je médit…., et je part….  une seconde fois avec d'autres marchands dont la probité m'était connue. Nous nous embarqu…. …. sur un bon navire, et, après nous être recommandés à Dieu nous commenç….  notre navigation.
     « Nous allions d'île en île, et nous y fais….  des trocs fort avantageux. Un jour, nous descend…. en l'une qui était couverte de plusieurs sortes d'arbres fruitiers, mais si déserte que nous n'y découvr….  aucune habitation.   Nous all…. prendre l'air dans les prairies et le long des ruisseaux qui les arros….
« Pendant que les uns se divertiss…. .. à cueillir des fleurs et les autres des fruits, je pr….  mes provisions et du vin que j'avais apporté et m'ass….  près d'une eau coulant entre de grands arbres qui form…. un bel ombrage. Je f….  un assez bon repas de ce que j'avais ; après quoi le sommeil v….  s'emparer de mes sens. Je ne vous dirai pas si je dorm….  longtemps ; mais, quand je me réveill…., je ne v…… plus le navire à l'ancre. »
     Là, Scheherazade fut obligée d'interrompre son récit, parce qu'elle v…. que le jour paraiss….. ; mais la nuit suivante elle continu…. de cette manière le second voyage de Sindbad :  « Je fus bien étonné, dit Sindbad, de ne plus voir le vaisseau à l'ancre ; je me lev….., je regard…….de toutes parts, et je ne v….. pas un des marchands qui étaient descendus dans l'île avec moi. J'aperç……. seulement le navire à la voile, mais si éloigné que je le perd…… de vue peu de temps après.
       « Je vous laisse à imaginer les réflexions que je fis dans un état si triste. Je pens….. mourir de douleur. Je poussai des cris épouvantables, je me frappai la tête, et me jetai par terre, où je demeurai longtemps abîmé dans une confusion mortelle de pensées toutes plus affligeantes les unes que les autres. Je me reprochai cent fois de ne m'être pas contenté de mon premier voyage, qui devait m'avoir fait perdre pour jamais l'envie d'en faire d'autres. Mais tous mes regrets étaient inutiles et mon repentir hors de saison.

Corrigé

J'avais résolu, après mon premier voyage, de passer tranquillement le reste de mes jours à Bagdad comme j'eus l'honneur de vous le dire hier. Mais je ne fus pas longtemps sans m'ennuyer d'une vie oisive ; l'envie de voyager et de négocier par mer me reprit : j'achetai des marchandises propres à faire le trafic que je méditais, et je partis une seconde fois avec d'autres marchands dont la probité m'était connue. Nous nous embarquâmes sur un bon navire, et, après nous être recommandés à Dieu nous commençâmes notre navigation.
« Nous allions d'île en île, et nous y faisions des trocs fort avantageux. Un jour, nous descendîmes en l'une qui était couverte de plusieurs sortes d'arbres fruitiers, mais si déserte que nous n'y découvrîmes aucune habitation, et même pas une âme. Nous allâmes prendre l'air dans les prairies et le long des ruisseaux qui les arrosaient.
« Pendant que les uns se divertissaient a cueillir des fleurs et les autres des fruits, je pris mes provisions et du vin que j'avais apporté et m'assis près d'une eau coulant entre de grands arbres qui formaient un bel ombrage. Je fis un assez bon repas de ce que j'avais ; après quoi le sommeil vint s'emparer de mes sens. Je ne vous dirai pas si je dormis longtemps ; mais, quand je me réveillai, je ne vis plus le navire à l'ancre. »
Là, Scheherazade fut obligée d'interrompre son récit, parce qu'elle vit que le jour paraissait ; mais la nuit suivante elle continua de cette manière le second voyage de Sindbad :  « Je fus bien étonné, dit Sindbad, de ne plus voir le vaisseau à l'ancre ; je me levai, je regardai de toutes parts, et je ne vis pas un des marchands qui étaient descendus dans l'île avec moi. J'aperçus seulement le navire à la voile, mais si éloigné que je le perdis de vue peu de temps après.
« Je vous laisse à imaginer les réflexions que je fis dans un état si triste. Je pensai mourir de douleur. Je poussai des cris épouvantables, je me frappai la tête, et me jetai par terre, où je demeurai longtemps abîmé dans une confusion mortelle de pensées toutes plus affligeantes les unes que les autres. Je me reprochai cent fois de ne m'être pas contenté de mon premier voyage, qui devait m'avoir fait perdre pour jamais l'envie d'en faire d'autres. Mais tous mes regrets étaient inutiles et mon repentir hors de saison.

 



29/01/2009
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