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Franz Stock
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Abbé Franz Stock
Biographie [modifier]
Franz Stock est l’aîné de neuf enfants dans une famille ouvrière de Neheim. Il est élève de l’école primaire catholique et à l'âge de douze ans, il formule pour la première fois le vœu de prendre la soutane. En 1917, âgé de 13 ans, il est admis au lycée de Neheim où il obtient son baccalauréat en 1926.
Il débute alors des études théologiques à l’académie philosophico-théologique de Paderborn. Il assiste en 1926, au sixième Congrès démocratique international pour la Paix à Bierville, près de Paris, organisé par Marc Sangnier sous la devise « La Paix par la jeunesse ». Il y fait la connaissance de Joseph Folliet qui aura une très grande influence sur lui. À Pâques 1928, il retourne à Paris pour y suivre des études pendant trois semestres à l’Institut catholique de Paris. Il est le premier étudiant allemand admis à l’Institut depuis le Moyen-Âge. Il devient Compagnon de Saint François, mouvement qui aspirait à réaliser l’idéal de la vie simple et de la paix. Dans les années suivantes, il participe à plusieurs reprises à des rencontres internationales, comme celle sur le Borberg près de Brilon (de) en 1931.
Biographie de Pierre Valdo
Pierre Valdo (également Pierre Valdès ou Pierre Vaudès selon les sources) dit Pierre de Vaux (1140-1206) est un riche marchand de Lyon. Passant par une crise religieuse, à la suite de laquelle il fit traduire le Nouveau Testament en langue vulgaire, il vendit (plus probablement "donna") tous ses biens et devint prédicateur itinérant. D'autres en firent autant. Ce mouvement, appelé la fraternité des Pauvres de Lyon, est fondé vers 1173 ; il rencontra tout de suite de l'hostilité.
En 1179, Valdo et un de ses disciples se rendirent à Rome. Ils furent bien accueillis par le pape Alexandre III, mais plus fraîchement par la Curie. Ils durent expliquer leur vision de la foi devant un collège de trois ecclésiastiques et notamment des points qui faisaient alors débat au sein de l'Église comme le sacerdoce universel, l'évangile en langue vulgaire, une plus grande pauvreté de l'Institution... Valdo et ses amis ne furent pas pris au sérieux, on les questionna sur des points précis de théologie où ils furent incapable de répondre. La rencontre n'aboutit donc à rien, et Valdo et ses disciples d'abord vus avec méfiance furent condamnés au concile Latran III de cette même année mais non encore excommuniés.
Persécutés, chassés de Lyon, Valdo et ses disciples s'installèrent dans les hautes vallées du Piémont, puis, en France, dans le Luberon : l'Église vaudoise est née. Excommuniés par le Concile de Vérone en 1184, sa doctrine fut condamnée par le Concile de Latran en 1215.
Lacordaire résume ainsi les raisons de cette condamnation : « Il crut impossible de sauver l'Église par l'Église. Il déclara que la véritable épouse de Jésus-Christ avait défailli sous Constantin, en acceptant le poison des possessions temporelles; que l'Église romaine était la grande prostituée décrite dans l'Apocalypse, la mère et la maîtresse de toutes les erreurs; que les prélats étaient des Scribes, et les religieux des Pharisiens; que le pontife romain et tous les évêques étaient des homicides; que le clergé ne devait avoir ni dîme ni terres; que c'était un péché de doter les églises et les couvents, et que tous les clercs devaient gagner leur vie du travail de leurs mains, à l'exemple des apôtres; enfin que lui, Pierre Valdo, venait rétablir sur ses fondements primitifs la vraie société des enfants de Dieu. »
C'est sous son impulsion, payant de sa poche la traduction de plusieurs livres de la Bible en provençal vers 1180, que naîtra un engouement populaire pour la lecture et la propagation de la Bible en langue vernaculaire.
Il serait intéressant d'établir un parallèle entre Pierre Valdo et son contemporain François d'Assise : tous deux ont renoncé à la fortune pour Jésus-Christ. Tous deux ont lancé des prédicateurs sur les routes. Pierre Valdo n'était pas contre l'Église mais voulait une église plus pure, plus simple. Le fait qu'il soit un laïc et ignorant dans le domaine de la théologie le décrédibilisa auprès du clergé. Toutefois, à la différence de François, Valdo niait la présence réelle de Jésus-Christ dans l'Eucharistie.
Il serait intéressant de signaler l’existence encore à présent en Italie (avec une diaspora en Amérique Latine) d’une Chiesa Valdese, dont Pierre Valdo serait l’inspirateur. Les Vaudois piémontais réfugiés dans les villages abrités des pentes alpines orientales avaient maintenu les principes des Pauvres de Lyon.
Franz Stock
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Abbé Franz Stock
L'abbé Franz Stock, né le 21 septembre 1904 à Neheim (de) (Arnsberg) en Allemagne, mort à Paris le 24 février 1948, est un prêtre catholique allemand. Il fut aumônier dans les prisons parisiennes durant la Seconde Guerre mondiale.
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Biographie [modifier]
Franz Stock est l’aîné de neuf enfants dans une famille ouvrière de Neheim. Il est élève de l’école primaire catholique et à l'âge de douze ans, il formule pour la première fois le vœu de prendre la soutane. En 1917, âgé de 13 ans, il est admis au lycée de Neheim où il obtient son baccalauréat en 1926.
Il débute alors des études théologiques à l’académie philosophico-théologique de Paderborn. Il assiste en 1926, au sixième Congrès démocratique international pour la Paix à Bierville, près de Paris, organisé par Marc Sangnier sous la devise « La Paix par la jeunesse ». Il y fait la connaissance de Joseph Folliet qui aura une très grande influence sur lui. À Pâques 1928, il retourne à Paris pour y suivre des études pendant trois semestres à l’Institut catholique de Paris. Il est le premier étudiant allemand admis à l’Institut depuis le Moyen-Âge. Il devient Compagnon de Saint François, mouvement qui aspirait à réaliser l’idéal de la vie simple et de la paix. Dans les années suivantes, il participe à plusieurs reprises à des rencontres internationales, comme celle sur le Borberg près de Brilon (de) en 1931.
Le 15 mars 1931, il reçoit le sous-diaconat. Avant la retraite qui allait le préparer à recevoir le sacrement de l’ordination, il écrit à ses parents : « [...] Ces jours-ci, je fais le pas décisif vers le sacerdoce. Je suis conscient de toute ma faiblesse et pourtant j’ai grande confiance en Celui qui nous fortifie et autant que je pourrai, je me montrerai digne de Lui. Car tout au long de ma formation, à n’en pas douter, la Providence de Dieu m’a conduit, depuis le jour où pour la première fois, j’ai songé à devenir prêtre, jusqu’aujourd’hui. »
Le 12 mars 1932, il est ordonné prêtre par l’archevêque de Paderborn, Kaspar Klein. Sur les cartes de sa première messe Franz Stock fait imprimer un extrait de la première Lettre de Saint Pierre : « Obéissant à la vérité, sanctifiez vos âmes, pour vous aimer sincèrement comme des frères. D’un cœur pur, aimez-vous les uns les autres sans défaillance, engendrés de nouveau d’un germe non point corruptible, mais incorruptible, la Parole du Dieu vivant et éternel. »
En 1934, il est nommé recteur à la Mission catholique allemande de Paris. Il habite au 21-23 de la rue Lhomond, près du quartier Latin.
En août 1939, quelques jours avant le déclenchement de la guerre, il doit, sur l’ordre de l’ambassade, regagner précipitamment l’Allemagne. Il exerce les fonctions de vicaire d'abord à Dortmund-Bodelschwingh et ensuite à Wanzleben (de).
Aumônier pendant l'Occupation [modifier]
Le 13 août 1940, il est nommé à nouveau à la Mission catholique allemande de Paris où il arrive en octobre.
Début 1941, il commence à visiter les prisons parisiennes : Fresnes, La Santé et le Cherche Midi.
Le 10 juin 1941, il est nommé aumônier à titre de fonction secondaire par les autorités militaires allemandes. Il est chargé de prendre soin des détenus dans les prisons et de préparer et accompagner les condamnés à mort jusqu’au lieu de leur supplice. De 1941 à 1944, il y a environ 11 000 captifs dans les prisons de Paris. Les exécutions ont lieu au fort du Mont-Valérien. Son journal, où il consigne de brèves notes sur les prisonniers et les condamnés à mort devient un document bouleversant[réf. nécessaire]. Lui-même dit[Où ?][Quand ?] que le nombre des exécutions auxquelles il a assisté devait être un nombre à quatre chiffres, et pas le plus petit. Le chanoine de la cathédrale de Chartres, Pierre André, cita[Quand ?] un nombre au-dessus de 3 000. La plaque commémorative au Mont Valérien en mentionne plus de 4 500, chiffre critiqué en 1995 par Serge Klarsfeld et Léon Tsevery dans leur livre : Les 1007 fusillés du Mont-Valérien parmi lesquels 174 Juifs[1].
Le 25 août 1944, lorsque le général de Gaulle entre dans Paris, l'abbé Stock se trouve à l’hôpital de la Pitié avec plus de 600 soldats allemands blessés et intransportables. Quand les Américains prennent en charge l'hôpital, l'abbé Stock devient prisonnier de guerre, enregistré sous le matricule: US/PWIB/31 G/820274.
Les Compagnons de Saint François sont un mouvement chrétien souhaitant marcher dans les pas de Saint François d'Assise. Ils privilégient ainsi les valeurs défendues par ce dernier : la paix, la tolérance et la fraternité, l’amour de la nature, le goût de l’aventure, la simplicité et la joie de vivre.
Pour cela, les compagnons se réunissent au cours de pèlerinages ou routes (nationales et internationales), à pied pendant une dizaine de jours, en groupe d'une vingtaine de personnes, équipés d'un sac à dos, couchant à même le sol.
Le mouvement est une branche laïque de la famille franciscaine et vise à rapprocher des personnes de tous les âges, de nationalités, de cultures et de convictions différentes autour de réflexions spirituelles ou autres.
Les compagnons sont principalement issus de 8 pays, Allemagne, Angleterre, Belgique, Espagne, France, Pays-Bas, Portugal et Suède, même si d'autres pays sont représentés (ex. : Burundi) : le mouvement se veut ouvert à tous.
La version originale de cette prière est la suivante :
Belle prière à faire pendant la Messe
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix.
Là où il y a de la haine, que je mette l’amour.
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l’union.
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
Ô Maître, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler, à être compris qu’à comprendre, à être aimé qu’à aimer, car c’est en donnant qu’on reçoit, c’est en s’oubliant qu’on trouve, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie.
Rajmund Kolbe, en religion Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola, (Pologne), mort au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941 était un frère franciscain conventuel polonais, qui s'est offert de mourir à la place d'un père de famille dans le camp de concentration nazi à Auschwitz I. Il est vénéré dans l'Église catholique romaine sous le nom de « saint Maximilien Kolbe » et fêté le 14 août.
Biographie [modifier]
Pendant son enfance, il aurait eu une vision de la Vierge de Czestochowa, celle-ci lui proposait deux couronnes : une blanche pour la sainteté (ou pureté) et une rouge pour le martyre. Elle lui demanda de choisir et il accepta les deux. Il décida par la suite de devenir prêtre franciscain conventuel. Entré au noviciat des Franciscains conventuels, il fut ordonné prêtre le 28 avril 1918.
En 1917, il fonda la Mission de l'Immaculée : spiritualité fondé sur le don total et sans réserve de soi à l'Immaculée pour devenir un instrument entre ses mains. Sur la même lancée, il crée en janvier 1922 le journal Le Chevalier de l'Immaculée. En août 1927, il fonde Niepokalanow, « la cité de l'Immaculée », près de Varsovie où ils seront jusqu'à près de 800 religieux. Il y met en place une maison d'édition et une station de radio (il était lui même radioamateur sous l'indicatif SP3RN), toutes deux destinées à promouvoir la vénération de la Vierge tout particulièrement dans le mystère de l'Immaculée Conception.Il passera aussi quelques années au Japon où il vivra le même apostolat. En 1939, sa fraternité fournit l'abri à des réfugiés polonais, y compris des Juifs. Le 17 février 1941, il est arrêté par la Gestapo, puis transféré en mai dans le camp d'Auschwitz, sous le matricule 16670.
En juillet 1941, un homme disparaît dans le bloc 14, où se trouve le père Kolbe. Aussitôt, les nazis sélectionnent dix hommes de la même baraque et les condamnent à mourir de faim, afin de décourager les tentatives d'évasion. L'homme disparu a été, par la suite, trouvé noyé dans les latrines du camp. Kolbe se porte volontaire pour remplacer François Gajowniczek, père de famille. Les nazis consentent à la substitution ; les dix prisonniers sont enfermés dans le bunker du souterrain de la baraque. Bien que la faim pousse les condamnés à la folie de s'entretuer après quelques jours seulement, le prêtre Maximilien réussit à faire régner le calme et la piété entre ses compagnons de cette tragédie au moyen de prières et d'oraisons. Après deux semaines de famine, seul quatre des dix hommes se trouvent encore miraculeusement en vie. Kolbe en fait partie. La place venant à manquer, ils sont exécutés d'une injection de phénol dans le bras. Leurs corps sont brûlés dans un four crématoire le 15 août. François Gajowniczek survit à la captivité et décède en 1995.
Maximilien Kolbe a été béatifié comme confesseur en 1971. Le 10 octobre 1982, il a été canonisé comme martyr par le pape Jean-Paul II. Il est le seul à avoir été honoré d'abord comme confesseur, puis comme martyr. En juillet 1998, l'Église d'Angleterre a inauguré une statue de Maximilien Marie Kolbe sur la porte occidentale de l'abbaye de Westminster, à Londres, en tant qu'élément d'un monument à la mémoire de dix martyrs du XXe siècle.
Catherine Benincasa est née à Sienne, en Italie, le 25 mars 1347. Fille d'un teinturier, en 1352, à l'âge de 5 ans, elle fait vœu de virginité pour le Christ à la suite d'une vision du Christ-Pontife.
À l'âge de 15 ans, elle revêt l'habit des sœurs de la Pénitence de saint Dominique (les Mantellate), un groupement pieux, fait essentiellement de veuves, qui ne suivait pas stricto sensu une règle religieuse (pas de vœux) ; Dominique de Guzmán avait réuni et organisé des laïcs en une « milice » chargée de résister aux hérétiques et de récupérer et défendre les biens de l'Église usurpés par des laïcs.
En 1368 a lieu son « mariage mystique avec le Christ ». Cette même année meurt son père et a lieu à Sienne un coup d’État, pendant lequel Catherine sauve ses frères. En 1370, elle donne son cœur à Jésus pour l’Église. De la même année datent ses premières lettres et les premières conversions.
En 1374, la jeune mystique, qui a suscité l'étonnement à Sienne et dans l’ordre dominicain, comparaît devant le Chapitre général des dominicains à Florence. Elle y rencontre le bienheureux Raymond de Capoue qui deviendra son directeur spirituel.
À la Pentecôte, elle reçoit les stigmates du Christ.
À partir de 1375, elle prend de manière publique la défense des intérêts du pape, en s'engageant pour le retour des papes d'Avignon à Rome et pour l'unité et l'indépendance de l’Église. Elle se rend en Avignon et, pour tenter de persuader Grégoire XI, lui apporte cinq oranges confites cueillies sur l'oranger planté par saint Dominique à Sainte-Sabine, à Rome, sur l'Aventin. En septembre 1376, elle rentre à Sienne et Grégoire XI prend le chemin de Rome. Catherine continue de représenter et de défendre le pape dans les villes italiennes en pleine ébullition.
En 1378, après le décès de Grégoire XI, Urbain VI devient pape à l'issue d'une élection tumultueuse. Catherine émet des mises en garde mais malgré cela survient le Grand Schisme d'Occident et l’élection de Robert de Genève, l'antipape Clément VII. La même année, Catherine commence la rédaction de ses Dialogues, qui auraient été composés en cinq jours d’extase, du 9 au 14 octobre 1378. Catherine s’établit définitivement à Rome.
En 1380, après avoir reçu dans une vision la nef de l’Église sur ses épaules, à Saint-Pierre, elle meurt à l’âge de 33 ans exténuée par les austérités mais heureuse.
Ses œuvres [modifier]
On a d'elle des traités de dévotion, des lettres et des poésies remarquables par l'élégance et la pureté du style. Elle laisse notamment un Dialogo della Divina Providenza, dicté deux ans avant sa mort, et 382 lettres adressées autant à des gens du peuple qu'à des puissants (papes, rois, clercs ou laïcs) qu'elle a rédigées durant les dix dernières années de sa vie. Ces écrits brûlent de ferveur mystique et sa rhétorique efficace, mélange d'images bibliques et d'expressions communes, dénote une forte volonté de persuasion.
L'édition la plus exacte et la plus complète de ses œuvres est celle de Jérôme Gigu, sous ce titre : Opère délia serafica sauta Catarina, Sienne et Lucques, 1707-1713, 4 volumes in-4.
On y remarque un Dialogue entre le Père éternel et sainte Catherine, qu'elle dicta en 1378 étant ravie en extase. Une légende, exploitée par les peintres d'Italie fait, de cette sainte, la fiancée du Christ.
Les citations de Sainte Catherine de Sienne
«Pour l'homme courageux, chance et malchance sont comme sa main droite et sa main gauche. Il tire parti de l'une comme de l'autre.»
[ Sainte Catherine de Sienne ]
«La patience est la mère de la charité.»
[ Sainte Catherine de Sienne ] - Lettre au frère Filippo de Vannuccio
«Il n'y a que les imparfaits qui regardent plus au don qu'au donateur.»
[ Sainte Catherine de Sienne ] - La divine miséricorde
«La vie est un pont, traverse-le, mais n'y fixe pas ta demeure.»
[ Sainte Catherine de Sienne ]
«On ne fait qu'un avec son ami. On ne fait pas qu'un avec son maître.»
[ Sainte Catherine de Sienne ]
«L'âme ne peut vivre sans amour, il lui faut toujours quelque chose à aimer puisque c'est par amour que Dieu l'a créée.»
[ Sainte Catherine de Sienne ]